Il est impossible de croire Mozart lorsqu’il écrivit à son père en 1778 « Et puis, vous savez que je répugne à écrire pour un instrument (la flûte) que je ne puis souffrir », tant la beauté et la grâce des œuvres écrites pour le plus vieil instrument du monde sont grandes ! Dans ces quatuors le langage mozartien est à son zénith : tendresse, légèreté et profondeur.
Avec : Philippe Bernold et les étoiles du Conservatoire National Supérieur de Musique de Paris : Céleste Klingelschmitt, violon, Clémence Dupuy, alto, Gauthier Broutin, violoncelle
En partenariat avec le Festival de la Vézère